Là, je sais pas ce que j'ai, j'ai envie de

Là, je sais pas ce que j'ai, j'ai envie de parler.

Et là, il y a un problème.

En fait, de mon entourage, seules 4 personnes connaissent l'existence de mon blog.

Deux sont mes amies proches, deux des amis, dont un n'en a que foutre, et l'autre n'y va plus.

Il manque:

- mon amie depuis ma plus tendre enfance
- mon amie depuis ma plus horrible période: le collège
- mon amie de BTS la plus déjantée
- petit copain qui va plus vouloir de moi après en avoir eu connaissance.

Bientôt, je vais sûrement me barrer à plus de 20 000km de là, et je me demande si je leurs dévoile l'adresse.

Genre, un truc de postérité quoi. Mais n'importe quoi.

Mais voilà, c'est un départ quand même, bordel de couilles.

Pourquoi?

Parce qu'au final, même si pour la plupart du temps je raconte de la grosse daube, et bin cette grosse daube, ça fait quand même partie de moi depuis un bon bout de temps. Et puis, pas sûr que ça les intéresse, surtout que ça fait quand même quelques pages à lire, vont tous voir mes fautes de grammaire, mes vieux délire à deux balles, vont peut-être se dire que j'ai pas parlé assez d'eux. Et puis quand je relis un peu ce que j'ai écris, soit j'ai envie de pleurer tellement que c'est nul, soit je me dis que ce serait rigolo qu'ils le lisent. Ouais je parle au masculin parce que dans la liste des personnes à qui je pense le faire lire, il y a un mâle qui fout le bordel et qui fait que je ne peux pas dire "elles" parce que dans ce monde d'homme, c'est le masculin qui l'emporte dans la grammaire, l'orthographe, tout ce que tu veux quoi. Toi, t'es fiché direct ^^

En fait, je me dis que ce serait un joli cadeau de départ. Je sais pas si j'aurais la patience d'attendre mon départ pour leurs donner l'adresse, mais c'est à ce moment-là que ça va faire le plus d'effet (oh là là mais quelle fille calculatrice je fais, n'y croyez pas. Enfin si, croyez-y).

Bon voilà, si un jour tu tombes dessus et que tu t'es reconnu(e), bienvenue dans mon monde bloguesque totalement débile. Putain. Quand même. Plus d'un an et demi sans que tu saches que ce machin existait. M'en veux pas.